Les fabliaux du Moyen Âge : études de littérature populaire et d'histoire littéraire
Les fabliaux sont des récits comiques et satiriques en vers qui ont été populaires en France au Moyen Âge. Ils ont été écrits pour être racontés oralement et ont souvent été utilisés pour critiquer ou ridiculiser la société de l'époque. Les fabliaux présentent souvent des personnages stéréotypés, tels que le mari jaloux, la femme adultère ou le prêtre corrompu, qui se trouvent dans des situations absurdes et grotesques.
Joseph Bédier, dans son livre Les Fabliaux du Moyen Âge et l'Origine des Contes, étudie la littérature populaire et l'histoire littéraire des fabliaux. Il décrit comment les fabliaux ont évolué au fil du temps et comment ils ont influencé d'autres formes de littérature, telles que les contes de fées.
Les fabliaux sont une source précieuse pour les historiens qui cherchent à comprendre la vie quotidienne de l'époque médiévale. Ils fournissent des informations sur les relations sociales, les croyances religieuses et les attitudes envers le sexe et la moralité.
Le fabliau latin au Moyen Âge
Le fabliau n'était pas uniquement un genre de la littérature française. En effet, un genre littéraire latin du Moyen Âge s'intitule « comoedia » qui est considéré comme l'ancêtre du fabliau. Il est décrit en détail dans l'article "Le fabliau latin au Moyen Âge".
Les fabliaux comme source d'inspiration pour les écrivains modernes
Les fabliaux ont également inspiré les écrivains modernes. Pierre-Jean-Baptiste Le Grand d'Aussy a publié en 1713 "Fabliaux ou Contes du XIIe et du XIIIe siècle". Le contraire est également possible. Comme l'indique l'article "Fantastique médiéval et fantastique potockien", on peut également "revisiter" des fabliaux médiévaux grâce à la littérature contemporaine.
Conclusion
Les fabliaux ont été un genre de la littérature populaire et satirique en France au Moyen Âge, qui ont été écrits pour être racontés oralement. Ces récits comiques et satiriques en vers ont influencé d'autres formes de littérature, telles que les contes de fées. Ils ont inspiré des écrivains modernes et constituent une source précieuse pour les historiens cherchant à comprendre la vie quotidienne médiévale.
LES FABLIAUX DU MOYEN AGE ET L'ORIGINE DES CONTES
www.jstor.org/stable/44762667LE FABLIAU LATIN AU MOYEN AGE - JSTOR
www.jstor.org/stable/45044566Fantastique médiéval et fantastique potockien - OpenEdition Journals
journals.openedition.org/ed...Fabliau - Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/FabliauQue sont les fabliaux du Moyen Âge ? - Futura Sciences
www.futura-sciences.com/sci...Le fabliau latin au moyen âge - Persée
www.persee.fr/doc/roma_0035...Ecrire un fabliau / Trucs et astuces / Le Conjugueur Forum
forum.leconjugueur.lefigaro...Je vais vous raconter l'histoire d'un homme riche et d'un homme pauvre. Le riche homme, M. Pierre, était bien connu pour être arrogant et avare. Il avait tout ce qu'il voulait et refusait de donner à quiconque une seule pièce de monnaie. L'autre homme, M. Paul, était tellement pauvre qu'il n'avait pas un sou à lui.
Un jour, M. Paul décide de tenter sa chance et de demander une pièce de monnaie à M. Pierre. Bien sûr, M. Pierre refuse et se moque de M. Paul. Mais M. Paul est déterminé, il tente une autre approche. Il dit à M. Pierre qu'il comprend qu'il n'est pas intéressé à donner une pièce, mais qu'il a une offre pour lui. Il propose qu'ils jouent un jeu : si M. Pierre gagne, M. Paul devra payer le jeu ; mais si M. Paul gagne, M. Pierre devra lui donner une pièce de monnaie.
Surpris par la proposition, M. Pierre accepte mais est certain qu'il pourra facilement gagner. Il s'agissait d'un jeu de devinettes, et M. Pierre a très mal calculé la situation. M. Paul a réussi à gagner tous les jeux et M. Pierre était obligé de lui donner une pièce de monnaie.
Cette histoire rappelle un fabliau médiéval populaire, montrant l'importance du rusé et du malin. Dans ma vie personnelle, j'ai souvent dû utiliser cette technique pour obtenir ce que je voulais. Récemment, je cherchais à obtenir une hausse de salaire dans mon travail, et j'ai réussi à trouver un moy ...